19 janvier 2010
Une pensée
Je ne peux vivre que pour l'ivresse. Les petites quantités, les amours modérés, tout ce qui est en demi-teintes, me laissent froide. J'aime l'extravagance. Les lettres qui infligent des courbatures aux facteurs qui les transportent, les livres qui débordent deleurs couvertures, la sexualité qui fait exploser les thermomètres.
(Anaïs Nin)
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